Claude Schmitz nous présente son premier long-métrage, L’Autre Laurens, entre le film de genre revisité et le polar comique postmoderne. Comment faire cohabiter les genres dans un même récit au service d’une réflexion sur notre monde ?
Dans L’île rouge, Robin Campillo relate sous forme d’autofiction son enfance dans l’ex-colonie française de Madagascar. Le cinéaste nous raconte comment il s’est projeté et a projeté ce qu’il était enfance pour créer une matière filmique propre ; mais aussi de la manière de faire la révolution à l’intérieur de son propre film.
Avec Voyages en Italie, Sophie Letourneur retrace la quête pour sauver l’étincelle de son couple. Entre autobiographie et autodérision, comment a été fabriquée cet étonnant road movie a-romantique ?
Rencontre avec David Depesseville, cinéaste, pour retracer pas-à-pas les gestes qui ont conduit à la création de son premier long-métrage, Astrakan, portrait sensible d’un orphelin du Morvan.
Dans Lucie perd son cheval, Claude Schmitz interroge la porosité entre fiction et réalité, jeu et improvisation, documentaire et imagination. Il nous raconte son dispositif hybride, non-prémédité et tourné vers la rêverie.
Acteur césarisé, Swann Arlaud raconte sa vision et sa pratique du métier de comédien à l’occasion de la présentation du film Tant que le soleil frappe de Philippe Petit au 5ème Festival international du film politique de Carcassonne.
Yann Samuell défend son film La guerre des Lulus et raconte les grands choix qui ont guidé la fabrication de ce grand spectacle. Il confie avoir réalisé le film qu’il aurait rêvé de voir enfant.
Le cinéaste Alain Ughetto raconte les coulisses de la création de son film, Interdit aux chiens et aux Italiens entre témoignage sur la vie d’immigrés et la légende d’un grand-père rêvé.
Dans un film engagé, Nos Frangins, Rachid Bouchareb raconte les jours qui ont suivi la mort de Malik Oussekine et d’Abdel Benyahia. Il entremêle la quête de vérité des familles et la contestation politique.