Marcos Morau revisite avec puissance le conte des frères Grimm dans cette pièce chorégraphique aux teintes monochromes et aux procédés vertigineux. Plus que d’un simple conte, l’anthologie d’un cauchemar.
Le cinéaste Alain Ughetto raconte les coulisses de la création de son film, Interdit aux chiens et aux Italiens entre témoignage sur la vie d’immigrés et la légende d’un grand-père rêvé.
Avec Pacifiction, thriller politique expérimental, Albert Serra est au sommet de son art, quelque part entre un James Bond psychédélique et Twin Peaks transposé aux confins de l’océan Pacifique.
Eric Miot construit et gère avec l’équipe du Arras Film Festival un événement de proximité pour tous les publics. Mais pense l’avenir du festival aussi comme un rendez-vous professionnel.
Dans un film engagé, Nos Frangins, Rachid Bouchareb raconte les jours qui ont suivi la mort de Malik Oussekine et d’Abdel Benyahia. Il entremêle la quête de vérité des familles et la contestation politique.
Dans ce récit familial et populaire, Alain Ughetto raconte l’exil de ses grands-parents des Alpes italiennes vers la France. Inventif et politique, son film d’animation est aussi beau que touchant.
Mauvais divertissement et piètre film pédagogique, le film de Yann Samuelle est un récit d’aventure rempli de clichés, la super production n’est à la hauteur ni de ses ambitions, ni de ses intentions.
Sous la forme d’un portrait généreux, Rob Garver nous fait découvrir la figure de Pauline Kael, mythique critique américaine ayant notamment défendu les films majeurs du Nouvel Hollywood.
Avec son film tourné juste avant l’invasion russe, la réalisatrice ukrainienne raconte dans un cadre intimiste le quotidien de la jeunesse en sursis de son pays dans un temps suspendu.